J'ai revu le Soufflé après notre date désastreux. Je ne l'ai pas cherché, c'est lui qui m'a recontacté, dans le plus pur style "j'ai 15 ans" :
Slt miss, kesk tu devien? tt va bien? jsui sr mon lit, jregard 1 film, jsui fatigué. ta telmt pa aimé q tu me rapel pa pr kon srevoi? haha
Oui. Haha. Après les 5 minutes que m'a exigé le déchiffrage de ce message, j'ai décidé de réfléchir un peu à l'usage que je pouvais faire du Soufflé dans ma vie. Je n'ai rien à lui reprocher à part le fait qu'il est complètement vide de contenu. Un peu comme Closer ou Gala, mieux vaut ne pas lire les commentaires qui accompagnent les images. Tu regardes les photos, tu dis "Oh la vache, Kate Moss elle a un super bikini et Amy Whinehouse elle ferait mieux de pas faire du topless" et tu le jettes. Tu ne fais pas les mots croisés, tu ne lis pas les "articles", tu ne lis pas le courrier des lecteurs : tu regardes les images et tu jettes. On n'encombre pas son cerveau avec des jeux de mots pourris et des analyses de photos douteuses.
Affichage des articles dont le libellé est monologue. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est monologue. Afficher tous les articles
mardi 17 août 2010
Le retour du Soufflé
Libellés :
bon coup,
bonne surprise,
chez moi,
conversation,
drague,
ego,
homme qui parle,
merci-au-revoir,
monologue,
phrase choc,
prétentieux,
sms douteux,
soufflé
mardi 10 août 2010
Tu parles trop
Il est de notoriété publique que les femmes parlent. Beaucoup. Enfin souvent, elles pensent à voix haute, elles font « du bruit avec leur bouche » comme dirait Lorraine. Il est donc publiquement reconnu qu’une femme, c’est chiant pour les hommes, qui eux ne parlent pas et ne pensent pas à voix haute, à moins d’avoir faim, soif ou envie de baiser. Et les hommes, c’est chiant pour les femmes, exactement pour les mêmes raisons, et aussi un peu parce qu’à chaque fois qu’elles demandent « A quoi tu penses ? », l’homme répond invariablement : « A rien. »
J’ai souvent été confrontée au problème inverse : les hommes qui parlent. Alors oui, les femmes se plaignent des hommes qui ne parlent pas, mais ce n’est pas la quantité qui compte ici : c’est bien la qualité. Plantons un décor.
J’ai souvent été confrontée au problème inverse : les hommes qui parlent. Alors oui, les femmes se plaignent des hommes qui ne parlent pas, mais ce n’est pas la quantité qui compte ici : c’est bien la qualité. Plantons un décor.
Libellés :
chez eux,
chez moi,
compliments,
conversation,
débandage,
exs,
homme qui parle,
lorraine,
monologue,
myriam,
orgasme,
parler trop,
performance,
psychanalyse post-coïtale,
S.,
silence
Inscription à :
Articles (Atom)