Dans la vie, j’aime bien les surprises. Les bonnes surprises. La nuit, je supporte mal les mauvaises surprises et je suppose que tout le monde est pareil, hommes et femmes, petits et grands : la nuit, on ménage les gens.
Aussi suis-je devenue la reine de l’anticipation. Au lieu de me prendre une réflexion en pleine gueule, je préviens et je laisse mon compagnon décider. Exemple : « Je te préviens, mon appart est en bordel, tu devras me laisser 5 minutes pour arranger un peu. » En général, le compagnon répond ok. Ou encore ce que Lorraine appelle « Annoncer la couleur : ROUGE ! », l’homme décide ensuite s’il préfère prendre le numéro ou suivre. Et aucun n’a encore pris mon numéro sans suivre…
Donc j’annonce, c’est plus sain pour tout le monde. Mais j’ai malheureusement compris qu’il est des choses que l’on ne peut pas annoncer. Ni prévoir. Voici l’histoire de S..
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mardi 10 août 2010
Annoncer la couleur
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S.
Tu parles trop
Il est de notoriété publique que les femmes parlent. Beaucoup. Enfin souvent, elles pensent à voix haute, elles font « du bruit avec leur bouche » comme dirait Lorraine. Il est donc publiquement reconnu qu’une femme, c’est chiant pour les hommes, qui eux ne parlent pas et ne pensent pas à voix haute, à moins d’avoir faim, soif ou envie de baiser. Et les hommes, c’est chiant pour les femmes, exactement pour les mêmes raisons, et aussi un peu parce qu’à chaque fois qu’elles demandent « A quoi tu penses ? », l’homme répond invariablement : « A rien. »
J’ai souvent été confrontée au problème inverse : les hommes qui parlent. Alors oui, les femmes se plaignent des hommes qui ne parlent pas, mais ce n’est pas la quantité qui compte ici : c’est bien la qualité. Plantons un décor.
J’ai souvent été confrontée au problème inverse : les hommes qui parlent. Alors oui, les femmes se plaignent des hommes qui ne parlent pas, mais ce n’est pas la quantité qui compte ici : c’est bien la qualité. Plantons un décor.
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