dimanche 12 juin 2011

Ca ne mord pas

Cher amant,

Par la présente, je tiens à m’entretenir au sujet d’une partie de mon anatomie qui te fait peur. Oui, tu as bien compris de quoi je veux parler, ne fais pas comme si tu ne te souvenais pas de mes remarques timides, de mes encouragements, de mes insinuations… Je veux parler de ma chatte.

Bien souvent, tu t’es retrouvé sur mon lit après quelques galoches bien grasses. J’ai sans peur aucune déboutonné ton pantalon pour y glisser ma main à l’intérieur et toucher, toujours sans peur aucune, ton membre viril. Je ne sais pas si tu t’en rappelles, mais j’étais souvent au dessus de toi : les circonstances ou ton manque d’initiative ne me laissent parfois pas d’autre choix. Mais je te pardonne, on ne se connaît pas encore très bien, tu ne veux pas me brusquer alors tu me laisses te brusquer un peu pour voir ce que j’ai dans le ventre. Et tu n’as pas été déçu, amant de moi. Sans peur j’ai viré ton fut, sans peur j’ai viré ton calebar, sans peur j’ai caressé, branlé, sucé. Curieuse de voir ce que tu me réservais pour la suite, je suis revenue à ma position de départ, à quatre pattes au dessus de toi, t’embrassant fougueusement pour maintenir la tension, ma chatte à portée de main et encore en sous-vêtements, pour que tu y glisses une mimine et vérifies si le niveau d’humidité était suffisant pour passer à la suite, ou (soyons audacieux…) juste pour me faire plaisir.

samedi 4 juin 2011

Pas tous en même temps !

Je crois que mes amants lisent mon blog. Ils ont tous appris le français et ils ont tous lu que j’étais de retour. Comme c’était pas la pleine lune, c’est la seule explication que j’ai trouvé à ce phénomène étrange qui s’est produit hier soir… Je vous refais la soirée.


18h00

Je rentre chez moi après trois jours de séminaire-convention-youpi-tralalala Trois jours sans vie sociale ou privée, sans possibilité de me retoucher les ongles ou les sourcils, sans dormir plus de 4 heures par nuit, sans parler d’autre chose que de boulot. Si on ajoute à ces trois jours les deux jours de préparation qui les ont précédé et le week-end peu reposant, ça nous fait une semaine complète de teint vert et de temps de réaction significativement plus long que d’habitude. Depuis 7h00 du matin, je ne pense qu’à la sieste que je vais me coller en rentrant, ignorant les messages Facebook du Soufflé qui ne cesse de geindre qu’il a envie de me voir.