mercredi 29 septembre 2010

Empêtrée...

Mon travail ma tuer.

Non, sérieux, les temps sont durs. En plus, il semblerait que la phase lunaire ne plaise pas à mon cerveau qui planche depuis quelques jours à chaque moment libre sur une façon d'introduire un sujet qui m'est cher...

Je suis bien consciente que vous n'êtes pas nombreux là, derrière vos écrans, et que même si vous l'étiez vous n'en auriez rien à battre de mes soucis...

Cependant, les plus sympa d'entre vous accepteront de me faire part (pour m'aider...) du texto le plus crade/chaud bouillant qu'ils n'aient jamais reçu et/ou envoyé.

En vous remerkiant...

samedi 25 septembre 2010

Chat mouillé

Panda, il mesure 2 mètres, il est assez baraque, mais il est jeune. Abordé un soir dans une boîte pleine de chemises à rayures et à carreaux (comme dirait Lorraine : « Mes yeux, mes yeux, ça pique ! »), j’ai mis à peu près 30 secondes à le repérer, 30 secondes à traverser la foule de gens derrière laquelle il ne pouvait pas se cacher à cause de sa taille, derrière une Lorraine déchaînée, et 2 minutes à avoir sa langue dans ma bouche. Panda, il est très gentil. C’est pas un roi de la gaudriole, mais il a fini par faire les insinuations nécessaires pour que l’on convienne de rentrer ensemble. Mais plus tard… Pour le moment, je viens d’arriver, j’ai envie de m’amuser un peu avec mes potes.


jeudi 23 septembre 2010

L'oiseau est dans la cage !

On dit souvent qu’il est facile de chopper à un mariage. En théorie, c’est vrai : les gens sont tous désespérés parce que l’un de leurs potes se marie, qu’ils sentent que le temps passe (les filles surtout) et qu’ils n’ont pas encore trouvé leur moitié. Et moi, même en étant d’un naturel optimiste, j’étais persuadée que chopper à un mariage accompagnée de mon boss, un collègue et où la majorité des invités seraient mariés ou maqués et originaires d’un pays lointain où les gens font rarement plus d’1m50 les bras levés était impossible. C’est faux.

J’ai vu Mister France (excusez du peu, c’est Mathilde qui lui a donné ce surnom…) dès son arrivée devant la mairie. Grand, teint mat, yeux verts, très intrigant, je commençais à fantasmer quand mon boss est apparu derrière moi en me lançant pour la énième fois : « Sunday, enlève ces chaussures et remets tes ballerines, j’ai l’air d’un Schtroumf ! ». Je l’ai mentalement envoyé se faire foutre en riant poliment. Et oui, mon date aujourd’hui, c’est le Schtroumf suscité, faut que je me fasse à l’idée…

samedi 18 septembre 2010

Mais qu'est-ce que tu fous ?

Lilith a gentiment attiré mon attention sur le fait que mes posts sont rares.

J’aimerais rassurer mes 3 lecteurs (vous devez être à peu près ce nombre…) : je n’ai pas disparu, j’ai juste beaucoup de choses à faire et peu de temps pour rédiger mes bêtises. Mais je prépare plein de posts trop roflmao pour les jours et les semaines à venir.

Donc, chers 3 lecteurs, ne désespérez pas. Si vous en avez marre d’arriver sur mon blog pour ne rien y voir de nouveau, je ne peux que vous encourager à vous abonner au flux RSS (j’adore ce mot…).

Et j’aimerais aussi éclaircir un point : j’adore les commentaires et les points de vue des autres. Alors n’hésitez pas à en laisser ou à m'envoyer un mail !

L'étape du petit déjeuner

Vendredi soir. Ou plutôt samedi matin. Il est 5h et des patates et je rentre chez moi, en essayant de ne pas faire de bruit. En 15 secondes, je sais que Julia est accompagnée.  Ce que je ne sais pas, c’est si c’est par le Mec Du Nord (bizarre), le Maqué Pas Clair (sympa mais pas clair) ou le Prof Gentil, avec qui elle n’avait pas encore conclu. Clara dort, seule, c’est une constante… Je souris bêtement en me soumettant à ma routine démaquillage-lavage-crémage pré-couchage en me disant que demain matin, y’a du potin.

Il est midi et demi, j’ouvre la porte de ma chambre pour tomber nez à nez avec Julia dans la salle de bain. Avec des gestes -puisque Monsieur est encore dans la chambre et donc à portée d’oreilles- je l’interroge sur son identité, la qualité de la prestation et sur son impression générale.

dimanche 12 septembre 2010

Dis mon nom, salope !

J'aurais bien écrit plus tôt mais, voyez-vous, je n’étais pas chez moi cette semaine… Et ma conscience me poursuit, et là tout de suite maintenant, je ne sais pas si elle essaie de me dire que j’aurais pas dû manger ce cheesecake ou que les potins s’accumulent et qu’il faut les coucher sur l’écran. Dans le doute, comme j’ai déjà mangé le cheesecake, je vais coucher les potins pour voir si ça va mieux après.

Je devais voir le DJ dimanche dernier. Il était prévu qu’il m’invite à déjeuner et qu’on passe l’après-midi ensemble, pour enfin avoir du temps au lieu de trouver un mini-créneau dans nos horaires si différents. Le vendredi, on m’informe que je dois partir toute la semaine suivante en formation le lundi matin très tôt et que je dois finir un projet avant de partir. Mes espoirs de voir le DJ furent donc anéantis, je prévois de le prévenir dès qu’il appelle.

jeudi 2 septembre 2010

Stop telephoning me !

« Salut, on se voit toujours ce soir ?
- Oui, oui, je serai vers 1h chez toi.
- Parfait ! »

Simple, rapide, efficace, le Bohémien n’appelle que pour me voir presque immédiatement, ou en début de semaine pour fixer un jour puisqu’il sait que j’aime bien m’organiser. Lundi soir, alors que je prenais un verre avec Lorraine, je lui avais dit que je le préviendrais si je rentrais relativement tôt chez moi. A mon retour, j’avais appelé pour dire qu’on se verrait plutôt une autre fois, et nous étions tombés d’accord sur hier soir, étant libres tous les deux. Nos échanges téléphoniques dépassent rarement la minute, et encore, ça n’arrive que quand on a un problème d’agenda.

Il y a quelques mois encore, je n’avais pas compris que le téléphone pouvait être terriblement ennuyeux. Mr. VIP m’a largement aidé à m’en rendre compte, comme il m’appelait régulièrement pour savoir si j’étais libre le week-end suivant, et par la même occasion me raconter que son vol avait été retardé et qu’en plus il fallait qu’il passe dans un magasin de je-sais-pas-quoi pour acheter un truc vital. Il me posait aussi beaucoup de questions sur ma semaine, mon boulot, comme j’allais, etc. J’ai rapidement arrêté de répondre à ses appels, lui envoyant un mail le lendemain pour m’excuser de ne pas avoir pu répondre et en profiter pour glisser deux ou trois trucs salaces. Petit à petit, il a pris le pli, et les appels ne sont réservés qu’aux informations concrètes genre heures et lieux de rendez-vous. Trente secondes maxi.

Le fait est qu’en dehors des rendez-vous, je n’aime pas trop parler avec ces messieurs. Je n’aime pas les blancs au téléphone, et la plupart de leurs histoires de la vie quotidienne m’ennuient quand je suis habillée, seule, debout dans mon salon en train de fumer. Donc communication exclusive par textos (parce qu’on est trop djeun’s) ou mail pour certains, mais avec obligation de sous entendus salaces, sinon c’est chiant.